Exemples de décodage de certaines maladies « le mal a dit »
Toute expérience qui se présente à nous, va entraîner une réponse de notre part. D’abord sur un plan mental puis émotionnel et enfin physique.
Si je vis quelque chose que je qualifie d’agréable (mental), j’éprouve dès lors une émotion dite « positive » comme la joie. Mon corps va alors traduire cela au niveau de sa biologie en libérant des hormones liées au bien-être ex : ocytocine
Si à contrario, je vis une contrariété, un choc, un traumatisme, mon mental va alors qualifier cette expérience de négative et je vais ressentir des émotions comme la peur ou l’angoisse. Cela se traduira physiologiquement par la libération d’hormones de stress comme le cortisol ou l’adrénaline ce qui permettra à mon corps de réagir face à la situation comme par exemple en prenant la fuite.

Ce processus est tout à fait normal et fait partie intégrante de notre capacité d’adaptation à l’environnement.
Néanmoins, c’est sur la durée et l’intensité du déroulé des événements que cela peut parfois poser problème.
En effet, notre société actuelle nous expose à un environnement où le stress et la stimulation sensorielle sont excessifs et demandent une réponse adaptogène constante.
L’être humain n’est pas fait pour vivre cette intensité sur la durée ce qui l’expose à devenir vulnérable dans le temps et somatiser toutes sortes de maux qui ne viendront traduire que la présence d’un déséquilibre.
La façon dont chacun (e) de nous a de réagir face aux événements divers et variés de la vie dépend de multiples facteurs qui nous sont propres, notre vécu, notre histoire, notre personnalité, nos croyances etc.
Quelque chose peut paraître totalement anodin pour une personne et extrêmement difficile ou anxiogène chez une autre. Nul jugement ne doit être porté, tout est à accueillir.
Ce qui est certain, est que toute chose laisse une trace dans le corps, c’est ce que l’on appelle la mémoire cellulaire.
Notre corps mémorise ce qui a été ressenti et éprouvé lors d’une situation et c’est par ce biais notamment que nous pouvons mieux nous rappeler d’un souvenir proche ou lointain par l’association de l’émotion suscitée et de l’évènement.
Le corps, en apportant une solution d’adaptation à un conflit stressant peut voir s’observer un ralentissement ou un excès au niveau de sa circulation énergétique. Ce dernier peut concerner un organe précis ou tout un système.
La maladie ou « le mal a dit »
La maladie n’est pas une fatalité ni une finalité, mais la manière qu’emploie le corps pour communiquer et signaler un désordre au niveau informationnel.
Au début, les voyants sont à l’orange, ce sont les premiers symptômes, l’alerte, jusqu’au jour où le panneau de bord toujours allumé, les voyants toujours ignorés, se mettent alors au rouge : c’est la maladie, le blocage.
Le décodage biologique permet d’apporter une compréhension en faisant le lien entre le symptôme et l’histoire de vie de la personne.
Il permet d’explorer l’origine inconsciente de nos manifestations corporelles, de nos maux d’être, de nos symptômes et maladies en faisant le lien avec nos conflits internes, nos croyances, notre histoire et tout ce qui ne circule plus en nous.
Lorsque l’on ressent un symptôme ou que l’on déclare une maladie, outre le fait d’aller bien évidemment consulter en tout premier lieu un professionnel de santé, il est intéressant d’aller chercher ce qu’il s’est passé au niveau émotionnel lors du contexte d’apparition, les jours ou semaines précédents par exemple.
Symbolique du corps
Les cheveux : ma force
Le cuir chevelu : ma foi en mon côté divin
La tête : mon individualité
Les yeux : ma capacité à voir
Les oreilles : ma capacité d’entendre
Le nez : ma capacité de sentir ou de ressentir les personnes ou situations
Les dents : mes décisions
Le cou : ma flexibilité, ma capacité de voir plusieurs côtés de la vie
La gorge : l’expression de mon langage verbal et non verbal, ma créativité
Les épaules : ma capacité de porter une charge, des responsabilités
Les bras : ma capacité de prendre les personnes ou les situations de la vie. Ils sont le prolongement du cœur. Ils servent à exécuter les ordres. Ils sont reliés à ce que je fais dans ma vie par exemple, mon travail.
Les coudes : ma flexibilité dans les changements de direction de ma vie
Les doigts : les petits détails du quotidien
Le pouce : relié aux soucis, à mon intellect ou à mon audition
L’index : relié à des peurs, ma personnalité, mon ego, ou à mon odorat
Le majeur : relié à de la colère, ma sexualité ou ma vision
L’annulaire : relié à du chagrin, mon union ou mon toucher
L’auriculaire : relié à la prétention, ma famille ou au goût
Le cœur : mon amour
Le sang : la joie qui circule dans ma vie
Les seins : mon côté maternel
Les poumons : mon besoin d’espace, d’autonomie. Reliés à mon sentiment de vivre
L’estomac : ma capacité de diriger de nouvelles idées
Le dos : mon support, mon soutien
Les articulations : ma flexibilité, ma capacité de me plier aux différentes situations de ma vie
La peau : ma liaison entre mon intérieur et mon extérieur, mon équilibre
Les os : la structure des lois et des principes du monde dans lequel je vis
L’utérus : mon foyer
Les intestins : ma capacité de relâcher, de laisser aller ce qui m’est inutile ou de laisser circuler les événements dans ma vie
Les reins : le siège de la peur
Le pancréas : la joie qui est en moi
Le foie : le siège de la critique
Les jambes : ma capacité d’avancer dans la vie, d’aller vers le changement, vers les nouvelles expériences
Les genoux : ma flexibilité dans les nouvelles directions de l’avenir
Les pieds : ma direction, ma compréhension de moi-même et de la vie présente, passée, future
Les orteils : les détails de mon avenir

Exemple du décodage du corps de certaines maladies « le mal a dit »
Les maladies en –ite telles que l’appendicite, l’arthrite, la bronchite, la colite, la conjonctivite, la cystite, la gastro-entérite, l’iléite, l’otite, la phlébite, la tendinite etc. sont habituellement reliées à de la colère ou à de la frustration puisqu’elles sont reliées à des inflammations.
Les maladies en -ose telles que l’arthrose, la cirrhose, la couperose, la mononucléose, l’ostéoporose, la thrombose sont des maladies non-inflammatoires et peuvent évoquer des situations dans lesquelles des freins nous sont mis et où il nous faudrait oser.
Une maladie en rapport avec l’estomac peut être la traduction psychosomatique qu’une réflexion, une expérience, un événement n’a pas été digérée.
Ce qui touche à la bouche, la gorge, le cou viennent souvent exprimer le fait que quelque chose est resté en travers de la gorge et n’a pu être exprimé.
Ce qui touche les pieds ou les jambes ont souvent un rapport avec un changement de direction qu’il est difficile à prendre.
Lorsque les oreilles ou l’ouïe sont touchées, il peut être question de quelque chose qu’il n’était pas souhaitable d’entendre.
Les yeux quelque chose qui ne doit pas être vu ou un refus de le voir comme une infidélité par exemple.
Les personnes souffrant d’anorexie ont l’envie inconsciente de disparaître et de prendre le moins de place possible.
Les maladies de peau sont souvent témoins de notre rapport avec notre entourage et peuvent exprimer un sentiment d’abandon.
Acné : souvent relié à un manque d’estime de soi, au désir de tenir les gens loin de soi de peur d’être blessé (e)
Allergies : souvent reliées à de la colère ou à de la frustration face à une personne ou à un événement associé au produit allergène. A qui ou à quoi suis-je allergique lorsque cette situation s’est présentée ?
Boulimie : souvent reliée au besoin de vouloir combler un vide intérieur affectif ou de rechercher une sécurité ou une plénitude
Cancer : souvent relié à une grande peur ou à une culpabilité, au point de ne plus vouloir vivre, même inconsciemment
Constipation : souvent reliée au fait de vouloir retenir les personnes ou les événements de ma vie
Dépression : souvent reliée au fait de vouloir m’enlever de la pression dans ma vie
Diabète : souvent relié à de la tristesse profonde qui survient à la suite d’un événement où j’en ai voulu à la vie
Eczéma : souvent relié au fait de ne plus vouloir de contact, d’être séparé d’un être aimé
Fatigue : souvient reliée au fait que j’éparpille mes énergies et que je me laisse facilement contrôler par mes peurs, mes insécurités, mes inquiétudes
Gangrène : souvent reliée à de la rancune, ou à de la haine face à une situation en rapport avec l’aspect de ma vie qui est représenté par la partie affectée
Infarctus : souvent relié à l’amour que je dois davantage accepter de recevoir
Nausée : souvent relié à un aspect de ma vie que je veux rejeter parce qu’il me dégoûte
Nerf sciatique : souvent relié à une grande insécurité en rapport avec mes besoins de base : logement, nourriture, argent
Poumons : les maladies reliées aux poumons ont rapport au fait de ne pouvoir prendre l’espace vital, « l’air » dont j’ai besoin pour me sentir libre et pour pouvoir vivre
Rhumatisme : souvent relié à de la critique, soit envers moi-même ou envers les autres
Sclérose en plaques : souvent reliée au fait d’avoir des pensées rigides envers moi, envers les autres, et envers les situations de la vie
Torticolis : souvent relié à un ou à des côtés (aspects) d’une situation que j’évite de voir ce que je veux fuir
Tumeur : souvent reliés à un choc émotionnel qui se solidifie
Zona : souvent relié à une grande insécurité face à la perte de l’amour de quelqu’un ou d’une situation qui me procure cet amour
Quand la guérison n’opère pas
La maladie peut parfois apparaître de façon inconsciente comme un bénéfice secondaire et verrouiller ainsi tout processus de guérison.
Elle peut par exemple, représenter l’occasion de recevoir l’amour et l’attention de ses proches et ainsi pallier le sentiment de solitude ou d’isolement de la personne.
Elle peut aussi donner une impression d’appartenance à un groupe « nous les diabétiques » par exemple, attribuant une certaine identité regroupant force, solidarité, cohésion.
Parfois, la maladie a une bonne raison d’être et le chemin vers la santé semble moins accessible surtout lorsque la raison n’est pas conscientisée.
Le chemin vers la guérison ne peut s’entamer que lorsque qu’il résulte d’une réelle volonté et d’une détermination personnelle.
On ne peut forcer ce processus chez quiconque, même si nous sommes habités par des belles et nobles intentions.
Nos efforts resteront toujours vains tant que la personne n’aura pas fait ce choix qui lui appartient.
Sources : Jacques Martel Le grand dictionnaire des malaises et des maladies
Christian Flèche Décodage biologique des maladies
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