Préserver et modifier notre énergie
La vie, l’environnement, les relations humaines, nos conditions d’existence, les différentes pollutions ou facteurs de stress auxquels nous sommes soumis, sont autant de facteurs qui entrent en jeu et influent sur notre énergie vitale et notre équilibre.
Ils sont tous porteurs d’informations qui vont pénétrer et interagir avec nos champs morphiques individuels et collectifs et représenteront autant de messages auxquelles nos cellules devront répondre en s’y adaptant. Ainsi, l’équilibre de chacun (e) dépend de :

- Ce qui est créé par les pensées, les émotions, le mode de vie
Les pensées et émotions sont des vibrations.
Lorsqu’elles sont positives, elles élèvent notre taux vibratoire. A l’inverse, lorsque qu’elles sont négatives, cela a pour conséquence de l’abaisser. Ainsi, ce que nous pensons et ressentons influent grandement sur notre énergie. Il est donc primordial de veiller à notre dialogue intérieur et aux émotions suscitées par la façon dont nous nourrissons notre esprit. Nos lectures, les films que nous regardons, la musique que nous écoutons, l’alimentation apportée à notre corps, la façon dont circule l’énergie en nous au travers de notre activité physique etc.
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Ce qui provient de l’environnement
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L’environnement a un impact considérable. La circulation de l’énergie et de l’information est dépendante de ce dernier. L’épigénétique va même jusqu’à démontrer qu’il conditionne le fonctionnement de nos cellules. En effet, la membrane cellulaire reçoit les informations captées par nos sens et adapte la réponse en donnant des ordres au sein de la cellule, par exemple : produire plus de chaleur. Les émotions ont un impact prédominant. Une pensée crée un signal électrique qui génère une émotion qui se traduit dans le corps par une réponse hormonale, ex : émotion agréable = sécrétion d’hormones du bien-être VS émotion désagréable = sécrétion d’hormones du stress.
Ainsi, les conditions climatiques, spatiales, politiques, sanitaires, les événements auxquels nous sommes confrontés au quotidien dans notre vie, par le biais de notre entourage, au sein de notre habitat, les lieux dans lesquels nous nous rendons, les relations que nous entretenons, tout ceci va avoir une influence sur notre corps en l’obligeant à s’adapter ou à ressentir une palette d’émotions plus ou moins agréables et souvent subies que choisies.
Il est donc important d’essayer de se trouver dans des conditions environnementales les plus favorables possibles.
Ce qui est porté en soi
Tout ce que nous vivons, pensons et ressentons laisse une empreinte au niveau cellulaire, tout ce que nos ancêtres ont vécu, pensé et ressenti s’est inscrit de la même façon au sein de leurs cellules, cellules transmises de génération en génération. Ainsi, chacun(e) de nous est porteur(se) de sa propre mémoire cellulaire, mais aussi de la mémoire de ses ancêtres que l’on appelle mémoire transgénérationnelle. (Cf. médiumnité : les bagages de l’âme)
Et comme nous sommes soumis au principe de l’incarnation/réincarnation, nous sommes également porteurs ou porteuses des mémoires de nos vies antérieures appelées mémoires karmiques et de tous les vœux, serments ou pactes que l’on a pu formuler se durant.
Ces mémoires vont exercer une influence sur nos croyances, nos réactions, nos actes, notre équilibre jusqu’à ce qu’elles soient libérées.
Exemples de conduites limitantes
Mode de vie déséquilibré
Alimentation industrielle, raffinée, dévitalisée
Sédentarité ou insuffisance d’activité physique
Stress à tous les niveaux
Manque de sommeil ou sommeil irrégulier
Dépendances toxiques comme le tabagisme, l’alcool, le sucre blanc, les drogues et les dépendances liées à la technologie, les médias sociaux, les jeux
Médicamentation à outrance et surconsommation de compléments alimentaires souvent synthétiques et superflus
Pollution de l’air (surtout en ville), de la terre (agriculture conventionnelle), des eaux, de l’alimentation, des vêtements, des produits de nettoyage et d’entretien, des produits chimiques au travail, des produits chimiques du jardinage, de radiation alimentaire et autres
Nuisances sonores (ex. Aéroport, ligne de train, route surchargée devant son habitat) et bruits de fond inadaptés
Énergie et/ou combustion nucléaire, carbonée (pétrole, charbon), éoliennes à proximité
Conditionnement de masse par les médias « mainstream », la publicité, la musique, les films sans profondeur et trop violents, les jeux (parfois également très violents et sans sens profond), la politique, etc.
Présence de toute sorte de champs / ondes électromagnétiques (Wifi, 5 G, mobiles, micro-ondes, lignes à haute tension ou à basse tension, etc.)
Mauvaise respiration (respiration essentiellement haute, thoracique) respiration abdominale relaxante insuffisante
Peu ou pas de contact avec la nature
Perturbations géobiologiques des lieux de vie
Influences émotionnelles et énergétiques provenant de l’entourage ou d’autres personnes (médisances, ragots, jalousies, rumeurs etc…)
Déconnexion de soi (de son être profond) et de la nature, qui induit une identification au travers du mental amenant des perceptions erronées et une compréhension étriquée de l’humain et du sens de la vie.
Ressentiments entretenus
Emotions et pensées négatives, répétitives sur soi-même ou sur les autres
Attitude intérieure négative envers soi et la vie
Mauvaise gestion émotionnelle, émotions refoulées ou non accueillies
Blessures d’Âme, traumatismes émotionnels et souffrances du passé non guéries, non libérées, deuils non faits, les mémoires inconscientes et karmiques
Excès de mental, exigences de perfection,
Profession déplaisante ou non-valorisante
Problèmes avec son partenaire, la famille ou les amis
Problèmes sociaux
Conflits
Entretenir de belles pensées en se concentrant sur le positif
Réciter des affirmations positives
Demeurer dans l’instant présent le plus possible : la méditation, la cohérence cardiaque ainsi que la pleine conscience sont de précieux outils pour cela
Regarder des films, lire des ouvrages ou écouter de la musique où la joie et l’entrain sont majoritairement mis en avant
S’épanouir dans des loisirs, des voyages
Adopter une alimentation saine, la plus vivante possible, sans pesticides
Assurer à son corps une bonne hydratation avec une eau dynamisée et purifiée
Privilégier des thérapeutiques naturelles quand la santé n’est pas en jeu et le permet
Détoxifier son corps en demandant conseil auprès de professionnels
Pratiquer une activité physique régulière
Se ressourcer et se régénérer dans la nature
S’entourer de relations paisibles, joyeuses et respectueuses
Poser des limites, respecter ses envies, ses besoins
Entretenir un lieu de vie sain et chaleureux, adopter les grandes lignes du Feng- Shui
En cas de pollution dans l’habitat, faire appel à un géobiologiste si besoin
Se protéger des ondes électromagnétiques
Prendre de la distance vis-à-vis des médias de masse
Accueillir ce qui est sans jugement
Se remettre en question
Entamer un travail de conscientisation, libération et déprogrammation
Pardonner et se pardonner ce qui ne veut pas dire accepter, mais juste se libérer de l’emprise

Mesurer son énergie
L’énergie vitale de tout un chacun est ainsi la somme de ce que nous sommes, ce que nous pensons et de la façon dont nous agissons et interagissons.
Chacune des cellules de notre corps est à l’image d’un mini-circuit qui possède une vibration constante et est en résonance avec les champs électromagnétiques et énergétiques externes issus d’autrui, de l’environnement.
Les cellules vibrent et communiquent entre elles en échangeant des informations par le biais de fréquences et via des particules nommées photons.
La moyenne ou la somme de ces vibrations donne le taux vibratoire d’un individu.
Les cellules, lorsqu’elles sont saines, vibrent en résonance avec nos vibrations d’origine qui sont reliées à l’énergie vitale universelle. Le taux vibratoire se trouve alors élevé.
En revanche, lorsqu’elles sont malades physiquement, la fréquence baisse ce qui entraîne une dissonance. Le taux vibratoire est bas.
La cellule n’est pas uniquement malade sur le plan physique, elle l’est également sur le plan vibratoire, ce qui pourra l’empêcher par la suite, de déclencher son processus d’auto-guérison.
Le taux vibratoire est donc le reflet de l’énergie vitale de tout un chacun, mais aussi de son degré d’ouverture spirituelle.
Plus notre conscience évolue, plus les choix et actes que nous réalisons sont davantage tournés vers l’Harmonie, ce qui influe et se traduit par une quantité d’énergie élevée.
La mesure du taux vibratoire
La qualité de notre énergie peut se mesurer via des appareils de biorésonance conçus à cet effet ou plus communément par le biais de la radiesthésie.
Dans ce cas précis, la mesure du taux vibratoire de la personne sera exprimée en Unité Bovis.
André Bovis était un chaudronnier originaire de Nice et passionné de radiesthésie. Ses investigations personnelles dans les années 1930, lui ont permis d’établir une échelle de valeur afin de quantifier l’énergie vitale contenue dans les aliments.
Le principe était de mesurer l’énergie vitale d’un fruit, avant sa cueillette, au moment de la cueillette puis quelques jours après. Pour ce faire, il conçut une règle graduée de 0 à 10 000, appelée biomètre, dont l’unité de mesure était initialement l’angström. Pour raison de facilité, ces angströms furent ensuite convertis « unités Bovis souvent dénommées UB dans les ouvrages de radiesthésie ou géobiologie.

Pour utiliser sa règle, il mit au point un pendule spécifique en cristal avec une pointe métallique suspendu à un cordon de soie.
Il positionnait un aliment à l’extrémité de son biomètre, au-dessus duquel il déplaçait ensuite lentement son pendule depuis le point zéro. Le pendule de cristal se mettait à tourner lorsqu’il arrivait au-dessus de la graduation de la règle qui correspondait à la longueur d’onde vitale de l’aliment. L’amplitude du mouvement ainsi que la rapidité de la giration du pendule étaient considérées par Bovis comme des indicateurs de l’intensité des radiations vitales. Il eut ainsi découvert que l’énergie vitale contenue dans chaque aliment rayonnait de celui-ci et que la longueur d’onde de cette énergie, était mesurable en angströms. Ses travaux radiesthésiques lui permirent de quantifier l’énergie vitale des aliments qu’il testait et de proposer à tous les radiesthésistes une même unité de mesure leur permettant de travailler plus facilement en faisant des comparaisons avec une même échelle de valeur universelle.
Aujourd’hui, nous pouvons retrouver ce biomètre sous cette forme :

Le taux vibratoire moyen actuel d’un être humain, se situe aux alentours de 10 000 UB.
Entre 1 et 6000 UB : la personne est gravement malade.
Entre 6 000 et 9000 UB : la personne est légèrement souffrante.
Entre 9000 et 12 000 UB : la personne est en bonne santé.
Supérieur à 12 000 UB : la personne est en excellente forme.
Taux vibratoire de certaines substances



Taux vibratoire de certains animaux



Taux vibratoire des émotions


Taux vibratoire des aliments
Le Docteur Maximilian Bircher-Benner (1867/1939) un médecin et diététicien suisse, considéré comme le père de l’alimentation vivante, a prouvé
que ce n’est pas l’énergie calorique des aliments, mais plutôt la quantité d’énergie contenue dans la nourriture qui est essentielle, pour se maintenir en bonne santé et récupérer de la force.
Le taux de vitalité d’un aliment va dépendre de son état : naturel ou transformé, biologique ou traité et de son mode de cuisson.
Le taux de vitalité d’un aliment va dépendre de son état : naturel ou transformé, biologique ou traité et de son mode de cuisson.
Tout ce qui sera industriel, transformé, congelé, cuit à haute température ou grillé observera un taux de vitalité quasi nul.
Pour les fruits et légumes, la vitalité est dépendante également du délai de conservation et surtout de consommation après qu’ils aient été cueillis. Les légumes, les fruits entiers, les herbes, les oléagineux, les huiles vierges, les champignons ? etc. non transformés (au maximum coupés) posséderont encore une certaine vitalité. Une pomme cueillie fraîchement de l’arbre aura une vitalité de 100 % tandis qu’une pomme cueillie l’année passée puis stockée pendant des mois au froid n’en aura qu’une fraction de la même valeur.
Taux vibratoire des lieux
Les hauts lieux d’énergie sont des endroits précis où la vibration de l’énergie qui y réside est particulièrement élevée et peut être parfois ressentie physiquement. Ces lieux ne sont pas le fruit du hasard, leur emplacement et architecture précise respectant les connaissances de la géobiologie (Influence des réseaux et énergies cosmo-telluriques et de la géométrie sacrée (Etude des formes physiques à l’origine de la Création) leur confère de capter de façon amplifiée l’énergie cosmo-tellurique. Se rendre au sein de ces lieux permettrait d’élever le taux vibratoire.




A contrario, les lieux-dits « chargés » ou néfastes sont des lieux où l’énergie qui y réside est particulièrement basse. Se rendre dans ces lieux nous indispose, nous rend mal à l’aise, nous donne parfois même l’impression que notre présence n’est pas « désirée » et abaisse notre énergie.



D’autres mesures peuvent venir en complément de celle du taux vibratoire précédemment expliqué.
La mesure du Taux de Vitalité :
Complémentaire au taux vibratoire, il va davantage concerner le corps physique en nous renseignant sur sa vitalité, ses capacités.
Cette mesure est relative, individuelle, susceptible de varier ou s’abaisser significativement en cas de maladie, fatigue ou bien au contraire remonter après une profonde récupération.
Dans le cas où elle serait effectuée via la radiesthésie, elle sera exprimée en pourcentage.

La mesure du Taux de fonctionnement des chakras :
Il représente une des dernières mesures essentielles qui va renseigner sur le flux de circulation présent au sein de chaque chakra, et du corps subtil qui lui est associé permettant de savoir où se trouve le déséquilibre et vers quelle direction orienter prioritairement la ré harmonisation.

Nous avons longuement parlé de tous les facteurs principaux pouvant influer sur notre énergie vitale, néanmoins, il demeure encore un point important à évoquer et qui concernera cette fois-ci quelque chose à plus grande échelle et qui est l’impact de la météo spatiale sur notre planète et l’ensemble des êtres vivants qui y résident.
Les Facteurs intrinsèques à l’espace
A l’image du corps humain, la terre possède également autour d’elle, plusieurs couches. La plus proche étant la troposphère, la plus éloignée étant l’exosphère.
Ces couches représentent les composantes de notre atmosphère et s’étendent sur des km. La température y régnant diffère selon l’altitude concernée.
La couche d’ozone nous protège des rayonnements intenses du soleil.

Bien au-delà, environ 800 km au-dessus de la dernière couche, se situe la magnétosphère.

Elle représente une interface entre la partie haute de l’atmosphère et le milieu interplanétaire. C’est à partir d’elle que notre atmosphère se confond avec l’immensité de l’espace.
La magnétosphère est de forme très allongée et en mouvance constante. Elle est un champ magnétique qui joue un rôle de bouclier, de tampon protégeant la Terre, des vents, tempêtes solaires, orages magnétiques et des perturbations liées aux mouvements des particules dans l’espace. Elle possède la capacité d’arrêter la plus grande partie de ces particules.
L’activité du Soleil
Le soleil connaît des périodes d’activités faibles ou intenses.
Lorsqu’il intensifie son activité, plusieurs phénomènes peuvent se produire :
Les vents solaires (les vagues plasmas)

Le vent solaire est un gaz ionisé appelé plasma, composé principalement d’électrons et de protons. Il est continuellement éjecté de la haute atmosphère du soleil dans toutes les directions vers l’espace interplanétaire, le long des lignes de champ magnétique émanant du Soleil. Lorsque le vent solaire entre en collision avec les particules de l’atmosphère terrestre, de nombreux photons sont émis dans un même laps de temps, créant ainsi de magnifiques aurores polaires que l’on peut observer à des latitudes élevées dans les hémisphères nord (aurores boréales) et sud (aurores australes).
Les éruptions solaires ou tempêtes solaires

Le soleil connaît régulièrement des éruptions, des tâches, provoquées par une accumulation d’énergie au niveau de son équateur.
Cette ébullition, fait jaillir des particules chargées électriquement, se propulsant à grande vitesse dans l’espace, générant des orages magnétiques pouvant interférer avec le champ magnétique terrestre.
Les éruptions solaires sont classées en différentes catégories selon leur intensité A, B, C, M ou X.
Les éruptions de classe M sont des éruptions moyennes alors que les éruptions de classe X sont les plus puissantes.
Les tempêtes géomagnétiques
Lorsque les éruptions solaires sont fortes ou longues, elles entrainent des éjections de masse coronales (CME) qui sont un gigantesque nuage de plasma solaire et provoquent alors une tempête géomagnétique.
L’indice KP (K-Index)(P-Planetary) est l’indice mondial d’activité géomagnétique, qui est basé sur des mesures de 3 heures, effectuées par des magnétomètres au sol dans le monde entier.
Il est utilisé pour évaluer les perturbations du champ magnétique terrestre et donc la magnitude des tempêtes géomagnétiques ainsi que pour estimer les risques de perturbation des systèmes radio et électriques sur Terre.
L’échelle KP débute à 0 et termine à 9. A 1, tout est calme. De 5 à 9, cela indique la présence d’une tempête géomagnétique.
Les pics de résonnance de Schumann
La résonnance de Schumann est le nom donné à la fréquence électromagnétique de la terre.
Dans différentes stations au travers du monde, sont mesurés en continu le champ magnétique horizontalement et le champ électrique verticalement, à l’aide d’inducteurs magnétiques.
Lorsque des rayonnements intenses issus de l’activité solaire par exemple arrivent, la fréquence électromagnétique monte.
La fréquence signifie combien de cycles d’ondes se produisent en une seconde.
1 Hz signifie 1 cycle par seconde, 40 Hz signifient 40 cycles par seconde.
Le graphique montre la variation de fréquence en Hz et l’amplitude en utilisant la couleur blanche.
Pendant longtemps, la résonnance de Schumann était mesurée à 7,83 Hz.
Depuis quelques années, régulièrement, de nombreux pics sont observés, parfois sur des périodes assez longues s’étendant sur plusieurs heures.


A cela, ajoutons, les cycles lunaires, les équinoxes et les solstices, les passages de comètes, la traversée périodique de la ceinture de photons qui sont autant d’événements ou de conditions influents.
L’impact de ces énergies
Bien que naturels mais difficilement prévisibles, ces phénomènes impactent considérablement autant les technologies avec la radiation des satellites, l’endommagement des réseaux électriques, la perte des signaux GPS et de télécommunication, la dégradation de la couche d’ozone que nous êtres vivants.
Nous ne les voyons pas, mais nous les ressentons. Il arrive fréquemment que des personnes éprouvent divers symptômes bénins les amenant à consulter sans qu’il n’y ait de diagnostic posé.
Hors problème médical, la piste de l’impact de ces rayonnements peut être possiblement envisagée.
La traversée de ces énergies chez l’être vivant correspond à une succession de phases :
– la réception (souvent traduite par des sifflements, une pression à la tête, des vertiges)
– la purification le corps se met au ralenti (Troubles digestifs, nausées, froid intense puis vagues de chaleurs, rhinites, sinusites, nez bouché, état grippal…Etc.)
-l’intégration (fringales, angoisses ou sérénité)
Durant tout ce processus, le système nerveux du corps humain va tenter de s’ajuster en se délestant de tout ce qui ne lui sert plus ou qui a besoin d’être réajusté. La sphère physique autant que la sphère émotionnelle sont concernées.
L’impact des rayonnements peut être vu comme quelque chose d’évolutif, car ils nous permettent d’élever notre propre fréquence nous faisant tendre vers l’harmonie.
La météorologie spatiale comme les cycles lunaires, les changements de saison, les mouvements des planètes sont autant d’éléments qui nous rappellent cette interaction entre le microcosme et le macrocosme et l’importance de s’adapter, s’ajuster.
Conclusion
Nous sommes dans un monde d’énergie, issus d’énergie, émanons et recevons de l’énergie, devant nous ajuster et préserver cette énergie.
Ainsi, nous voyons à quel point nombre de paramètres entrent en jeu dans l’équilibre de toute chose.
Préserver son énergie, appelle à être à l’écoute de soi, de ses besoins, de ses ressentis tout en demeurant ouvert et conscient à ce qui se passe autour de nous.
Cela appelle à la responsabilité de chacun.
Nettoyer ses énergies, se régénérer, adopter de bonnes habitudes de vie.
L’équilibre s’installe lorsque l’on décide de se connaître, se choisir et que l’on pose des actions en accord avec nos aspirations profondes.
Cela ne nous épargnera pas le fait d’avoir à vivre possiblement des épreuves, mais cela permettra à tout un chacun de les traverser avec force et solidité.
Sources :
https://naturolistique.fr/le-taux-vibratoire/
https://www.conscienceverte.fr/2017/12/17/regle-de-bovis-premiere-partie/
https://www.aeronomie.be/fr/encyclopedie/vent-solaire-risques-lactivite-humaine